Université d'ottawa
Sensible au courant qui, dans les années 1890, condamne l’esclavagisme et les exactions coloniales, Charles Gill inscrit, avec les couleurs de la France, à l’endos de la photographie, l’extrait, souvent cité dans ce contexte, de Ruy Blas de Victor Hugo : « [Covadenga] Donnez-moi l’arsenic, je vous cède les nègres ! [Ruy Blas] Bon appétit messieurs ! O ministres intègres ! […] », Paris, 1893. Université d’Ottawa, CRCCF, Fonds Charles-Gill (P192), Ph42-1.verso.

Sensible au courant qui, dans les années 1890, condamne l’esclavagisme et les exactions coloniales, Charles Gill inscrit, avec les couleurs de la France, à l’endos de la photographie, l’extrait, souvent cité dans ce contexte, de Ruy Blas de Victor Hugo : « [Covadenga] Donnez-moi l’arsenic, je vous cède les nègres ! [Ruy Blas] Bon appétit messieurs ! O ministres intègres ! […] », Paris, 1893. Université d’Ottawa, CRCCF, Fonds Charles-Gill (P192), Ph42-1.verso.

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