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La préservation et la publication
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Au début des années 1940, Germain Lemieux s'intéresse au folklore et il réalise que le patrimoine oral se perd dans l'oubli. En 1948, le père Lemieux fait part à Lorenzo Cadieux, directeur de la Société historique du Nouvel-Ontario (SHNO), de son intention de faire des enquêtes sur le folklore franco-ontarien. Le père Lemieux est d'avis qu'une telle entreprise préserverait une partie du patrimoine oral franco-ontarien et fournirait également des sources pour fin de publication. Avec l'accord de Cadieux, Lemieux réalise sa première enquête le 12 septembre 1948 et il enregistre en 1953 un premier conteur Théodule Miville. Ses enquêtes le mènent dans plusieurs communautés franco-ontariennes, surtout le long de la route 17, de Mattawa à Sault-Sainte-Marie, mais aussi au-delà des frontières de l'Ontario, soit au Nouveau-Brunswick, au Québec, au Manitoba et en Bretagne (France). C'est d'abord en autobus, puis en voiture, qu'il se déplace avec son équipement encombrant. Au cours de sa carrière, le père Lemieux enregistre 646 contes et 3118 chansons, une oeuvre patrimoniale considérable qu'il « sauve de l'oubli ». | ||||||
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