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La littérature franco-ontarienne débute dans la première moitié du XVIIe siècle par la publication des récits de voyages des explorateurs et des relations des ordres religieux. Puis, après la Conquête (1763), elle se limite pendant près de 100 ans presque exclusivement à la seule littérature orale (chansons et contes) pour les quelques colons qui demeurent sur le territoire ontarien. À partir de 1865, lorsque Ottawa devient la nouvelle capitale du Canada, le flux de fonctionnaires et de députés fédéraux francophones venant s'installer dans la région aide à créer un climat culturel qui donne un premier envol à la littérature franco-ontarienne. Des poèmes, des contes et des nouvelles sont publiés dans des journaux et des revues. Dans les années 1910 et 1920, c'est la littérature de combat qui prend beaucoup d'importance, où il est question entre autres choses des droits des Franco-Ontariens. On voit à la même époque l'apparition de la littérature jeunesse. Toutefois, la rareté des maisons d'édition ne favorise pas l'épanouissement de la littérature en Ontario français. Cependant, avec la fondation de la maison d'édition Prise de Parole en 1973, et de celles qui vont suivre dans les années subséquentes, la littérature franco-ontarienne connaît un essor sans précédent. Le nombre de publications augmente, la diffusion et la distribution des ouvrages croissent et les auteurs reçoivent une plus grand visibilité.
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