Deuxième page de l’ébauche d’une lettre de Rémi Tremblay à Honoré Mercier, premier ministre du Québec, à qui il fait part de sa situation personnelle après qu’il se fut opposé à l’exécution du chef métis Louis Riel : il renonce, écrit-il, en raison de son « devoir de journaliste consciencieux » à son poste de rédacteur au journal La Justice de Québec et demande à Mercier de l’aider (il avait déjà, pour le même motif, été destitué de son poste de traducteur à la Chambre des communes à Ottawa), Québec, le 21 septembre 1889. Université d’Ottawa, CRCCF, Fonds Rémi-Tremblay (P10), P10/1/2page2. |